domingo, 30 de setembro de 2012

Mudanças sociais

Os dias esvoaçam a um ritmo infernal. Nos tempos mortos, poucas horas que me mantenho acordado, com pensamentos que divirjam do cerne da questão, a preparação das aulas. Os tempos para ver televisão são muito reduzidos e tento casualmente através da rádio escutar as diabruras do nosso tempo e perceber sinteticamente as convulsões que se passam à minha volta. Em Espanha, esta semana, mais uma vez houve manifestações, a que naturalmente se irão juntar outras. Começo a perceber que as manifestações e os insultos contra estas políticas deixam progressivamente de ser consideradas notícias.

Da varanda da minha casa na Venda do Pinheiro vou observando diariamente as rotinas dos meus vizinhos e dos transeuntes que diariamente se deslocam para trabalhar em Lisboa. Não é fácil a vida nos dias que correm. Ouvimos várias vezes falar das dificuldades da vida de outrora, onde a maior parte da população era pobre vivia daquilo que a terra dava. Atualmente as pessoas, grande parte com cursos superiores, ou com o 12º ano, vêm muitas dificuldades para conseguir ter um emprego, arrastando-se indefinidamente nas casas dos pais.
Em poucos anos a sociedade mudou assim como as expectativas das pessoas, no entanto atualmente como há  50 anos observa-se algo em comum, a falta de esperança e expectativas no futuro o que está a conduzir tal como aconteceu em meados do século passado, à emigração.

terça-feira, 25 de setembro de 2012

segunda-feira, 24 de setembro de 2012

É só malandros!

A sacanice do momento, agora pela voz do obscuro e inenerrável ministro (?) Miguel Macedo.

A cigarra e a formiga...

La bise des marchés et la cigale athénienne

par Pierre-Antoine Delhommais


Jean de La Fontaine avait donc tout compris, tout analysé, tout deviné, même la crise financière grecque. La bise des marchés est venue et la cigale athénienne s'est retrouvée fort dépourvue. La fourmi allemande n'étant pas prêteuse, c'est là son moindre défaut, il a fallu que Dominique Strauss-Kahn et Jean-Claude Trichet interviennent pour forcer sa nature et convaincre Mme Merkel de la nécessité d'agir au plus vite. Ce sont pas moins de 25 milliards d'euros que Berlin va, selon toute vraisemblance, débourser pour sauver la Grèce, peut-être pas de la famine, mais au moins de la faillite. Cela fait cher le morceau de vermisseau.

Puisqu'on est dans les fables et les morales, restons-y. La crise grecque, c'est d'abord le triomphe de l'orthodoxie économique. De la gestion budgétaire rigoureuse, de l'obsession de la compétitivité et des excédents commerciaux à l'allemande sur les déficits et le gaspillage des deniers publics à la grecque. Lesquels, selon M. Papandréou lui-même, "au lieu d'être utilisés pour le développement ont fréquemment servi à acheter des maisons, des voitures, et à vivre dans le farniente".

On ne résiste pas au plaisir de paraphraser une nouvelle fois le footballeur anglais Gary Lineker : "L'euro, c'est une monnaie qui se partage à seize, et à la fin, c'est toujours l'Allemagne qui gagne."

Sauf que là, dans l'affaire grecque, tout le monde est perdant. A commencer par l'Allemagne, vilipendée pour son égoïsme, critiquée pour ses tergiversations... et qui n'est pas certaine du tout de récupérer un jour ses 25 milliards. Le président de l'Institut de conjoncture allemand IFO, Hans-Werner Sinn, est persuadé que non. Les Grecs, publiquement humiliés, contraints de faire la manche et promis à des années d'austérité. La zone euro, qui a affiché ses divisions et révélé ses gravissimes défauts de structure et de conception. Les banques françaises, qui ont démontré leur imprudence en se gavant d'emprunts grecs (52 milliards d'euros). Jean-Claude Trichet qui, après avoir exclu catégoriquement que le FMI puisse intervenir, a dû s'y résoudre, ce qui a fait gentiment dire à Mme Lagarde "qu'il n'y a que les imbéciles qui ne changent pas d'avis". L'Elysée, aussi, persuadé dans un premier temps que la crise grecque avait du bon puisqu'elle permettait de faire baisser l'euro et de relancer les exportations et qui n'a rien fait pour arrêter à temps la gangrène. Les dirigeants politiques, qui ont prouvé leur impuissance face aux mouvements d'humeur des marchés financiers. Les contribuables européens, enfin, qui seront sollicités tôt ou tard pour payer in fine un prêt à la Grèce que les Etats eux-mêmes financent par l'emprunt. On ne fait que creuser des trous et des déficits pour en boucher d'autres.
Après tout, l'affaire grecque ne serait pas si grave si on pouvait se dire qu'elle est terminée. Les 120 milliards qu'Athènes va toucher devraient certes lui éviter une crise de liquidités et un défaut de paiement. Ils ne serviront en revanche pas à grand-chose pour résoudre sa crise de compétitivité. Il faut tout changer de "fond en comble", reconnaît M. Papandréou, faire en trois ans ce qui n'a pas été réalisé en trente ans. Passer de la fabrication d'huile d'olive à celle de produits industriels performants, transformer les Cyclades en Silicon Valley, ce n'est pas gagné. Et ce qui vaut pour la Grèce vaut aussi pour le Portugal et l'Espagne. Comment ces pays feront-ils pour retrouver de la croissance sans pouvoir dévaluer tout en pratiquant des politiques de rigueur extrême ? Une fois n'est pas coutume, les agences de notation semblent avoir fait preuve de simple bon sens en abaissant cette semaine la note de ces trois pays. Au lieu de cela, on préfère dire, comme l'Elysée, qu'elles ont une attitude "criminelle". Le politiquement correct ne fait pas bon ménage avec l'économiquement sérieux.

C'est aussi au nom du politiquement correct que personne, il y a quinze ans, n'avait voulu prêter attention aux dirigeants de la Bundesbank qui expliquaient, un peu abruptement, certes, qu'il était dangereux - pour eux comme pour leurs partenaires - que les pays d'Europe du Sud rejoignent trop tôt la zone euro. A l'époque, c'était tellement facile, les gnomes de Francfort furent accusés de racisme monétaire. Ce ne sont sûrement pas aujourd'hui les Grecs, durablement promis à vivre l'horreur économique, qui diraient que ces avertissements et ces réserves étaient injustifiés.

En ces temps si sombres, il convient de dire un grand merci au Parti socialiste français, dont la lecture des 23 pages du document de travail pour un "Nouveau modèle économique, social et écologique" nous a fait passer un bon moment. Et bien fait rire. On a préféré en rire pour ne pas en pleurer. Eric Le Boucher, dans un point de vue publié sur le site Slate, a trouvé ce texte "consternant ". Comme nous. Il évoque le retour des années 1970. C'est cela. Une sorte de programme commun mais nappé de sauce verdâtre, un cocktail de dirigisme et d'écolo-boboisme, Georges Marchais revisité par Nicolas Hulot.

A bas l'entreprise et vive l'Etat, qui seul garantira le bien-être économique pour tous ! Dans ce monde idéal vers lequel le PS promet de nous conduire en 2012, tout sera juste : le commerce (le juste-échange remplacera le libre-échange), les salaires, la fiscalité locale, la rémunération des agriculteurs, les services publics, etc. L'industrie sera forte, cela va de soi, et le consommateur sera remplacé par un "consom'acteur". Tout sera fait pour les jeunes mais aussi pour les retraités - à 60 ans - "parce qu'il y a une vie après le travail qui mérite d'être vécue pleinement".

Le plus inquiétant, dans ces 23 pages, ce n'est pas tant l'absence de mesures concrètes et détaillées pour édifier ce paradis, ce n'est pas tant la stratégie d'évitement sur des sujets essentiels (la gouvernance mondiale, la concurrence de la Chine, la compétitivité, la dette publique), ce n'est pas tant le manque total d'inventivité et la mièvrerie générale du discours et son côté "Oui-Oui fait de l'économie". Non, c'est l'impression de grand renfermement qui le parcourt de bout en bout. De peur du monde extérieur, de grand repli sur soi, une volonté de se réfugier dans une sorte de cocooning économique. "Collectivement, une société sous pression est une société stérile, incapable de créer, d'innover." Tout est dit.

transcrito, com a devida vénia, de Le Monde de hoje

sábado, 22 de setembro de 2012

Uma sociedade egoísta

Sento-me na secretária e organizo os papéis e o grande número de tarefas que me esperam para poder enfrentar mais um dia. Tento pensar em mim embora por vezes não seja fácil. A experiência adquirida ao longo dos três anos de serviço como docente é lisonjeira, para fazer face às adversidades da minha atividade profissional, no setor privado. Muitas vezes sinto-me perdido embora na prática tenha sempre de passar uma mensagem contrária. A liberalização do mercado de trabalho está progressivamente a destruir a dignidade humana, tonando esta uma sociedade, onde apenas os fortes triunfam, os mais fracos sentem cada vez mais dificuldades e são muitas vezes marginalizados.

Entristece-me perceber que não posso ter uma casa minha, pois o meu emprego deslocaliza-se geograficamente de um modo aleatório sem que eu possa controlar, ou saber o lar que estarei a habitar daqui por uns meses. Atualmente e felizmente posso dizer que tenho um quarto e um trabalho, no entanto interrogo-me sobre como será o meu dia de amanhã. Apercebo-me através de mensagens governativas que me referem ”não há empregos para a vida” e por isso não devo pensar a longo prazo. É o que eu subentendo desta expressão. Será que nesta sociedade dita democrática eu já não posso pensar no meu futuro e na minha felicidade e tenho de me subjugar a um sistema onde o trabalhador tem de se sujeitar às regras, onde funciona tudo para conseguir espezinhar quem é mais fraco. Não foi este o futuro que eu pensei para mim, sinto que com estas medidas de austeridade estão a tornar os portugueses mais tristes, pois sentem que estão a destruir algo que nos é querido, o nosso Portugal.

Na passada sexta feira, no meu local de trabalho, o colégio, apercebi-me de um olhar triste de um menino que eu estava a acompanhar numa atividade extra horário letivo. Decidi-me sentar um bocadinho ao pé dele e perguntar-lhe o que tinha. Ele respondeu-me que os pais chegavam tarde a casa e ficavam horas em frente ao computador e não davam atenção aos filhos. Depois daquela expressão não tive capacidade para dizer mais nada, apetecia-me dar-lhe um abraço e reconforta-lo. Depois desta experiência fiquei ainda mais convicto do que sinto e me faz ter força para continuar a trabalhar num ritmo louco, para não ter um reconhecimento no final. Vejo que as nossas crianças, que não têm culpa dos erros cometidos pela nossa sociedade, onde o trabalho asfixia e retira o tempo para pessoas que gostamos e nos merecem atenção. No final de um dia exaustivo de trabalho, a melhor recompensa é sentir, que por mais pequeno que seja o nosso contributo, ajudámos a transformar uma expressão num sorriso.

segunda-feira, 17 de setembro de 2012

Que tempos tão estranhos!

“Dos vivos herdam-se palavras. Dos mortos, coisas”. Ora, foram as palavras que o meu Amigo me confidenciou, antes que a vida nos apartasse para ilhas diferentes, que agora me forçam a este reencontro com o papel. O meu Amigo, lembrar-se-á, disse-me: “A morte de um progenitor tira-nos a terra debaixo dos pés. Voam as referências. E sentimo-nos terrivelmente sós, como nunca tínhamos ficado. Mas à medida que o tempo passa, há uma presença que nos acompanha, só que de outro modo, numa outra dimensão. Efectivamente, dentro do caixão já não segue ninguém que tenhamos conhecido. Ainda assim, depois dele passar nunca mais somos os mesmos”.
            Na altura, quando ouvi aquela confissão – ainda por cima vinda de alguém que já viveu mais de meio século e cuidou dos pais precisamente até aos últimos suspiros – a emoção tolheu-me de tal modo a garganta que mal consegui responder. E foi ridículo, precisamente ridículo o que lhe disse. Na altura, o meu Amigo, seguindo a velha máxima de Santo Agostinho (Profligar os erros, amando os Homens), limitou-se a sorrir. Era um sorriso de quem se revia no espelho do tempo.
            Foi na última semana, a meio de um exame médico um pouco mais complicado, que dei por mim a caminhar ao lado daquelas palavras, que agora recuperei: “Nunca mais somos os mesmos”. De facto, como a vida nos obriga a relativizar o sofrimento, quando pensamos no momento em que o mito da nossa fundação se esvai por entre os nossos próprios dedos, sem que nada possamos fazer. Por isso, hoje, que mais não fosse, precisava dizer-lhe que, mesmo que seja uma construção da mente, só por si essa mesma sensação de companhia (que me garantiu sentir) é positiva. Que mais não seja, é uma ilusão que nos alimenta e protege. Afinal, no sofrimento atroz é que percebemos onde nos agarramos.
            O meu Amigo, concordará, vivemos tempos estranhos. Impera o paradigma dos iluminados. Pensa-se em criar cérebros e vai daí arquitecta-se um choque tecnológico, que traz estádios, escolas (que mais parecem arranha-céus saídos de Hollywood) apetrechadas de poderosos quadros interactivos e demais tecnologia que nos empresta uns ares de progresso. Depois, quanto a livros, poucos se vêem. Quanto a conteúdo é melhor nem falar. De resto, os professores ficam caros e contratam-se cada vez menos. A massa crítica não se cultiva, mas a aparência fica garantida. Aliás, não é ela que tanto nos interessou ao longo dos tempos? Poupa-se em farelos, mas desperdiça-se a farinha. As prioridades sempre nos atrapalharam…
            Impera em Portugal o paradigma dos iluminados. Afinal, quase todos são licenciados e vêem coisas que o mais reles dos mortais não pode sequer imaginar. Muitos deles obtiveram os graus pelas Relvas desse país fora; sempre à distância, com a garantia das equivalências que só a experiência da politiquice garante. Quanto aos outros, obcecados em pagar as contas – é a creche dos putos, é o raio da água e da luz, é o empréstimo da casa ou do carro… – esses reles mortais nem imaginam o duro caminho de quem se tornou Doutor graças à subida na pirâmide, sempre de cabeça reverencialmente curvada.
            O meu Amigo, bem sabe, impera em Portugal o paradigma dos iluminados. Nas Escolas desenvolvem-se competências já quase sem falar em conteúdos. Os professores, que cada vez mais têm formação em tudo menos na área que leccionam, são avaliados, numa época em que poucos alunos são verdadeiramente filtrados. Para os gaiatos que não querem trabalhar, criam-se alternativas, que de alternativa têm efectivamente muito pouco. Até lhe chamam cursos profissionais, mas, em traços gerais, as disciplinas são as mesmas, apenas com nomes diferentes. E quanto a oficinas devidamente apetrechadas ou laboratórios; bom, falar nisso… só se for para desenvolver a competência da imaginação. E eu, desculpem-me, estou farto de tanta (in)competência.
            Impera em Portugal o paradigma dos iluminados. A distância entre quem governa e quem é governado é cada vez maior. E o diálogo parece impossível. De um lado, o pragmatismo cínico dos gabinetes, do outro, a realidade. E até a língua materna, com tanto acordo e tanta meta, se enrola na boca cada vez mais indecisa. E falar e escrever é cada vez mais uma tarefa de doutores das competências; novos rostos “científicos” do esoterismo. Afinal, de tão complicados, raramente são questionados e não raro até são premiados. É transversal a todos os domínios do que somos, como a corrupção, embora insistamos em travesti-la de uma certa forma, perversa, hipócrita, de legalidade (vejam-se, a propósito, os concursos públicos que para aí grassam…).
            Impera em Portugal o paradigma dos iluminados. Vivemos adiados. Os empréstimos são a cortisona que nos mantém de pé. Mas não há injecção que nos valha por muito tempo. E o problema é que ainda há filhos e netos deste país, que legitimamente sonham com um futuro. Que merecem um futuro, pelo menos como aquele que herdámos. E o problema, raio, é ver que este país não tem futuro. O problema, raio, é que parecemos um cemitério, com os muros a crescer para cima de nós a cada dia que passa.
            Impera em Portugal o paradigma dos iluminados. Eles dizem: – Faça-se luz! E a luz faz-se, dentro das limusinas onde são transportados; enquanto os faróis iluminam o país cada vez mais desocupado, já adormecido nas trevas da fome.
            Impera em Portugal o paradigma dos iluminados. Só mesmo uma mente superior para acreditar (ah, fé) que o crescimento se obtém baixando os salários dos trabalhadores, pois (ah, almas estrondosas) os preços dos produtos irão descer e será mais fácil comprá-los. Os mesmos produtos que nós, sublinhe-se, não produzimos mas importamos! Rousseau acreditava na bondade natural do Homem. Nós passámos a acreditar na bondade, filantropia natural, do mercado ou dos países que nos abastecem!
            Impera em Portugal o paradigma dos iluminados. Mas será que nenhum deles se ilumina e percebe que, neste momento, arriscamos a autodestruição? Será que ninguém que nos governa percebe que um país, à semelhança de cada Homem, também tem mitos fundadores; e que quando os perdemos nunca mais somos os mesmos? Quando será que eles percebem que o país, mais do que nunca, precisa de exemplos concretos de ética, verticalidade, transparência e trabalho?
            Nestes tempos estranhos, talvez seja chegado o momento de, enquanto cidadãos, nas mais variadas áreas da vida, deixarmos de “comer” tanto com os olhos e passarmos antes a valorizar mais o conteúdo. Não dará tanto nas vistas, é certo, mas os resultados, a médio e longo prazo, serão bem diferentes.
            Neste país, onde a força das ideias, despidas da sua dramaticidade/barroquismo, é praticamente nula, tal como a memória colectiva; em que quase todos falam, mas poucos ouvem e escasseiam as pontes entre aqueles que já se encaminham para o fim da vida e aqueles que agora estão a aprender a voar, talvez seja chegada a hora de perguntar: não estará já esgotado este modelo de recrutamento caciquista que persiste em perpetuar-se entre aqueles que almejam governar-nos? Não nos faria falta uma Escola de Ciências Políticas, por onde todos os nossos governantes deveriam obrigatoriamente passar, antes de se submeterem ao escrutínio popular? Não será altura de acabar com as mordomias de tantas fundações, de tantos políticos (“Passos Coelho com 31 veículos do Estado ao seu serviço”, Público, 16 de Setembro)? Será que, como imaginou Saramago na sua obra Ensaio sobre a lucidez (2004), não é chegado o momento dos cidadãos utilizarem o poder do voto em branco, enquanto arma decisiva da Democracia? Será que a própria lógica interna que preside ao funcionamento do Parlamento não poderia ser aperfeiçoada? Não estará na altura de todos conhecermos os programas dos partidos políticos que sonham alcançar a governação, para que depois possamos exigir o seu efectivo cumprimento? Será que não é chegada a altura de acabar com esses cursos do Ensino Básico e Secundário alicerçados nas competências e cultivar as disciplinas estruturais? Estude-se História, Filosofia, trabalhem-se obras, escreva-se, reflicta-se, partilhem-se ideias… e a cidadania aparecerá por acréscimo, de um modo muito mais eficaz…
            A Democracia não é, nunca poderá ser, um modelo acabado. Nestes tempos tão estranhos e tão difíceis, em que parecemos todos confundidos, ludibriados com tanto folclore, valerá a pena recordar que corremos seriamente o risco de, enquanto civilização, perder irremediavelmente os nossos mitos fundadores. O que somos, nomeadamente a liberdade que ainda vamos experimentando, apesar de tudo, radica na Democracia. O seu aperfeiçoamento, nunca será de mais referi-lo, também depende de cada um de nós.
Renato Nunes    

domingo, 16 de setembro de 2012

O estado do meu(nosso) País!!

Apresento aqui umas pequenas reflexões sobre as minhas breves leituras e imagens sobre o estado do meu país:
Ontem vi as manifestações e hoje não resisti a comprar o jornal, porque me arrepiou toda aquela gente que desespera e luta pelos seus direitos.Pessoas que choram e clamam por saúde, educação com qualidade e um emprego que lhe possa dar estabilidade.
Não resisiti a gravar, ontem as imagens da TV, momentos que espero rever em breve, como sendo más memórias na nossa rica História, ambicionando que todo este pesadelo passe rapidamente.Provavelmente toda esta esperança  não passa de utopia.
Que infeliz povo é este que tem governantes insensíveis, pouco crentes nas suas potencialidades e no real valor da sua mão de obra.

quinta-feira, 13 de setembro de 2012

Um manifesto


A crueza das palavras não é mais impressionante do que certeira. Tudo se ajusta à vilania grotesca que se vive. Gostaria de ter escrito o texto que tem uma dignidade de manifesto. Não sei quem é o seu autor mas, por razões ainda mais desesperadas do que as suas, subscrevo inteiramente o conteúdo e o tom. Para a alcateia de talibãs neoliberais que nos esmagam, não há mais argumentos. E isto é que é perigoso.

quinta-feira, 6 de setembro de 2012

Que a imperial não falte!

Parece que o senhor que o ministro Relvas arranjou para substituir a direcção da RTP sa(ca)neada pelo incumbente que mostra que a vida é para os espertos é um velho incondicional do Pedro (Passos Coelho), está nas cervejas e cheio de ligação aos negócios com Angola. Hum..

terça-feira, 4 de setembro de 2012

Saudades de Rio Maior

Numa fase muito difícil, onde as oportunidades de trabalho escasseiam é com apreço que eu vejo o surgimento de uma possibilidade de estabilizar na minha carreira. À medida que as dificuldade da vida aumentam, aprende-se e dá-se um valor diferente a pequena coisas que anteriormente não o faríamos.

Rio Maior será sempre uma boa lembrança no meu percurso profissional, neste ano e meio aprendi a conhecer uma cidade simpática, com pessoas afáveis e humildes que me souberam receber e acolher.

Nesta nova fase profissional que agora recomeça na Venda do Pinheiro, espero aprender e evoluir como pessoa e como profissional.